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Cellule triaxiale
Cellule uniaxiale 3D
Cellule uniaxiale 2D
Cellule oedométrique
Cellule de mesure de la pression de gonflement
Déformations libres
Variations de la masse de l'échantillon et de sa hauteur
Echange chimique
Cellule de diffusion
Cellule triaxiale de perméabilité
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Ma page personnelle
Jad WAKIM
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Veuillez découvrir les dispositifs mis au point durant ma thèse de Doctorat.
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Ces dispositifs servent à étudier: le gonflement, le retrait, le fluage,
les caractéristiques mécaniques, élastiques et plastiques, les échanges massiques
et chimiques et la perméabilité du matériau argileux. |
Introduction
La plupart des essais adoptés par les comités
internationaux se sont basés sur des essais
de gonflement oedométrique. Ces essais, qui ont pour objectif de
déterminer deux principales grandeurs qui sont le gonflement et la
pression de gonflement, sont répertoriés en différentes méthodes.
Ces méthodes sont applicables pour différentes conditions d'humidification (eau,
solutions salines et humidité).
Ces essais classiques imposent une déformation radiale nulle qui
n'est pas toujours représentative des conditions in situ.
Afin d'étudier le comportement d'une roche argileuse en laboratoire en
imposant des conditions radiales différentes (gonflement radial
empêché et gonflement radial libre), nous avons mis au point, au
sein de notre laboratoire, différents dispositifs expérimentaux.
La cellule de mesure des déformations libres nous
permet de mesurer le gonflement tridimensionnel anisotrope d'un échantillon
libre de gonfler radialement et axialement alors que la cellule
oedométrique sert uniquement à étudier le gonflement axial lorsque
le gonflement radial est empêché. L'utilisation de la cellule uniaxiale
nous permet, quant à elle, d'étudier le gonflement axial et le
gonflement radial lorsque
l'échantillon est soumis à une contrainte axiale et qu'il est libre de
gonfler radialement. Pour rendre compte de
l'effet du confinement sur le gonflement axial, il est nécessaire
d'avoir recours à une cellule triaxiale.
Il est important de remarquer que ces dispositifs permettent
clairement d'étudier le gonflement tridimensionnel d'une roche
argileuse anisotrope.
Les liens entre le gonflement et la masse retenue par l'échantillon
d'une part, et entre le gonflement
l'échange chimique entre l'eau des pores et la solution d'hydratation
d'autre part, constituent également des aspects intéressants à étudier.
Pour cette raison, des essais spécifiques ont été mis au point.
Il faut également étudier l'influence de la distance de la source d'alimentation sur le gonflement. Pour cette raison, la cellule de diffusion a été
mise au point.
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L'utilisation de la cellule triaxiale pour étudier le gonflement
des sols argileux et en particulier des roches argileuses est
novatrice. La cellule développée est compatible avec la presse
de type MTS (Mechanics Testing System) et a nécessité un important
travail de mise au point.
Elle nous
permet d'appliquer différents chemins de contraintes axiales et
radiales et de suivre le gonflement ou la pression de gonflement
axiale générée pour un blocage partiel ou total du déplacement axial.
Les échantillons sont carottés et découpés de façon à avoir un diamètre
de 50 mm et une hauteur de 25 mm.
La contrainte axiale est appliquée par un piston hydraulique avec une
vitesse de déformation de 120 micron/m/min et la
pression de confinement par un injecteur d'huile. Cette dernière est transmise à l'échantillon au moyen d'une gaine de silicone
imperméable enrobant l'échantillon.
La saturation de l'échantillon est assurée par l'injection d'eau de
bas en haut à travers les talons poreux déposés de part et d'autre
de l'échantillon. Le tuyau de sortie débouche dans un récipient externe.
La cellule triaxiale est pilotée par ordinateur, l'acquisition des
différentes grandeurs est réalisée par pas de temps, de déformation ou
de contrainte.
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Cette cellule a été conçue afin de mesurer le changement des
dimensions, selon les trois directions, d'une éprouvette soumise à une
contrainte axiale. Les échantillons utilisés
possèdent un diamètre de 65 mm et une hauteur de 130 mm et
présentent une
stratification verticale.
Les déplacements ont été mesurés par trois capteurs de type
LVDT :
le premier est disposé axialement et les deux autres
perpendiculairement dans le plan horizontal parallèle à la base de
l'échantillon.
La contrainte axiale est appliquée grâce à des accumulateurs de
pression utilisant de
l'huile et de l'azote qui la transmettent à la base de
l'échantillon.
Les déplacements des capteurs sont enregistrés en continu aux moyens
d'une carte d'acquisition et d'un ordinateur.
La saturation est assurée par l'immersion
totale de l'échantillon dans l'eau.
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Cette cellule sert à déterminer le gonflement
axial et le gonflement radial d'un échantillon subissant différents chemins de contrainte
axiale. Les échantillons testés présentent une isotropie
transverse. Le diamètre des échantillons est de 50 mm et la hauteur
est de 35 mm.
Le déplacement axial est mesuré par deux capteurs de type LVDT tandis que le gonflement radial est mesuré par un ruban en
inox entourant diamétralement l'échantillon et relié à un capteur de
déplacement par une poulie et un ressort.
L'imbibition
est assurée par immersion de la base jusqu'au plus haut niveau de
l'échantillon dans un récipient contenant de l'eau.
Le déplacement axial, le déplacement radial et la contrainte axiale appliquée
sont enregistrés en continu par une carte
d'acquisition et un ordinateur.
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La cellule oedométrique a pour objectif de déterminer, en fonction de
la contrainte axiale appliquée, le gonflement
axial d'un échantillon empêché de gonfler radialement.
Le bâti de la cellule est composé de deux plateaux reliés par
deux tiges filetées de forte rigidité. Des mesures de précaution par peinture ont été
prises afin d'éviter la corrosion des différentes pièces
métalliques.
Cette cellule est composée d'un anneau métallique
de forte rigidité
permettant d'accueillir un échantillon de diamètre 36 mm et de
hauteur 25 mm.
Le
déplacement axial est mesuré par deux capteurs de type LVDT
diamétralement opposés. Ces capteurs
sont caractérisés par une étendue de mesure de 10 mm et une
précision de mesure de 0.01 mm. La contrainte axiale est
appliquée par un vérin qui la transmet à l'échantillon à travers un
système de ressorts de forte raideur. Cette contrainte est mesurée par
un capteur de force.
La
saturation de l'échantillon est assurée par un réservoir d'eau qui transmet le fluide
au travers d'une pierre poreuse et une membrane en inox percée encerclant l'échantillon. La
circonférence de l'échantillon ainsi que celle de la membrane en inox ont été
graissées afin de réduire le plus possible le
frottement latéral.
Le déplacement axial et la contrainte axiale appliquée
sont enregistrés en continu via une carte d'acquisition et un ordinateur.
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Cette cellule, conçue au CGI (Centre de Géologie de l'Ingénieur), permet de mesurer la
pression de gonflement axiale d'un échantillon empêché de gonfler
axialement et radialement.
Le dispositif est constitué d'une bague métallique indéformable de
diamètre intérieur 63.1 mm et d'un piston axial
fixe interdisant le gonflement axial. La pression de gonflement est mesurée par l'intermédiaire de
l'augmentation de la contrainte développée sur la membrane en inox
située à la base de l'échantillon et qui met en pression l'eau du
réservoir située entre la membrane et le capteur de pression.
La saturation est effectué par un réservoir d'eau situé en haut de
l'échantillon et séparé de celui-ci par une pierre poreuse.
La hauteur des échantillons peut varier de 10 mm à 20 mm.
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Ce dispositif expérimental a pour objectif de mesurer en continu les déplacements
axial et radial d'une éprouvette mise en contact avec l'humidité ou
avec une solution aqueuse. La variation du diamètre de
l'éprouvette est mesurée, uniquement dans le cas où l'échantillon
présente une stratification horizontale, au moyen d'un ruban en laiton encerclant l'échantillon
et légèrement mis en tension et
relié à un capteur de déplacement. La variation de la hauteur est
mesurée par un capteur de déplacement disposé au centre de la face
supérieure de l'échantillon. Les deux
capteurs de déplacement, de type LVDT,
sont reliés à l'ordinateur au moyen d'une carte d'acquisition.
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Le principe de ce dispositif est de comprendre comment la masse de
l'échantillon évolue avec le gonflement lorsque
l'échantillon est mis en contact
avec l'air humide.
Il permet de
mesurer en permanence le déplacement axial et la masse d'un échantillon disposé
dans l'enceinte hygrométrique. Ce dispositif est composé d'un capteur de déplacement et d'un capteur de force placé
en bas de l'échantillon.
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L'échange chimique entre l'eau des pores et la solution qui immerge
l'échantillon est effectué au moyen d'un pHmètre et d'un conductimètre.
Les mesures sont réalisées pour des laps de temps définis.
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Le principe de ce dispositif consiste à identifier l'influence de la
distance de la source d'eau sur le gonflement en quatre points de l'éprouvette.
L'éprouvette déposée horizontalement de diamètre de 65 mm et de longueur de 100 mm
présente une stratification verticale parallèle à l'axe de
l'échantillon.
Quatre capteurs de déplacement mesurant la variation du diamètre sont
installés le long de l'éprouvette dont deux parallèlement à la
stratification et les deux autres perpendiculairement à celle-ci.
Ces capteurs sont connectés en permanence avec une
carte d'acquisition et un ordinateur.
Une ou les deux faces latérales de l'éprouvette sont mises en contact
avec des solutions aqueuses à l'aide de deux réservoirs placés de part et d'autre de l'éprouvette en contact avec des membranes en silicone entourant les deux
bases de l'échantillon. L'étanchéité a été assurée en installant
des colliers qui serrent la membrane à l'échantillon.
La mise en place des capteurs
suivant deux directions perpendiculaires nous permet également d'étudier le
gonflement anisotrope de la roche.
\noindent Pour l'essai, la situation la plus critique et la plus significative est de
soumettre une seule face de l'échantillon en contact avec l'eau,
c'est-à-dire de n'utiliser qu'un seul réservoir d'eau.
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Cette cellule nous permet de déterminer la perméabilité axiale d'un échantillon
confiné dans des conditions triaxiales de contrainte au moyen des méthodes à charge constante ou variable.
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